A l’image du PSVJ, Josiane Aubert prend position en faveur d’Eoljoux!

Combiers, restez fiers et indépendants tout en construisant l’avenir !

Depuis des siècles, les combiers sont fiers de leur coin de pays, attachés à leur verte vallée, à nulle autre pareille. Ce qui ne les a pas empêché d’être inventifs, ingénieux et de porter loin la réputation de la Vallée grâce aux magnifiques montres qu’ils ont confectionnées avec amour du travail bien fait et savoir-faire exceptionnel. Une telle réussite est due à un savant mélange entre indépendance tenace, ancrage solide dans les racines jurassiennes, et ouverture sur le vaste monde. Nous avons la responsabilité de tout faire pour maintenir ces ingrédients, pour l’avenir de notre belle région et de ses habitants. Conscients que le monde du XXIe siècle est global, les défis sont immenses, mais nous pouvons y faire face, à condition de nous en donner les moyens.  Le projet Eoljoux est un de ces moyens : il permettra à notre Vallée de produire, bon an, mal an, la quantité d’énergie électrique dont notre population et nos industries ont besoin ; en d’autres termes, il apportera à la région une relative indépendance en production électrique.

Lorsqu’on voit que de nombreuses guerres actuelles ont pour mobile principal la supprémacie sur les matières premières et l’énergie (Irak, Lybie, Afrique des grands lacs, Ukraine,…), lorsqu’on observe les détériorations sévères de l’environnement dues aux industries énergétiques (marées noires, gaz de schistes, …), on doit penser l’avenir énergétique différemment et appliquer à ce domaine déterminant ce que la Suisse a si bien su faire dans d’autres domaines grâce à son fédéralisme et à son amour de l’indépendance.  L’avenir énergétique sera durable si la production s’appuie sur une multitude de sources locales, gérées au plus près des populations, qui peuvent rester maîtresses de leur production et de leur commercialisation.  Cela demande une nouvelle manière de penser, la réalisation d’un réseau interconnecté et complémentaire, avec le gros avantage de ne plus avoir tous les œufs dans le même panier.  Eoljoux entre dans cette nouvelle dynamique.  Eoljoux, faut-il le rappeler, est un projet public, puisqu’il est en main des trois communes de la Vallée et de la SEVJ, Société électrique de la Vallée de Joux, elle-même entièrement propriété des communes. Le contrôle démocratique est donc garanti.

Les adversaires, dont un certain nombre sont des activistes non combiers qui s’agitent contre tous les projets éoliens, font mention de l’IFP, inventaire fédéral du paysage, dont le pâturage des Grands Plats fait partie.  Il faut rappeler à cet égard que cet inventaire a été élaboré dans les années 70, avant qu’on ne parle de la première éolienne sur territoire suisse. Les trois communes de la Vallée, parmi les plus grandes communes forestières de Suisse, sont en zone de protection maximale, entre les hauts marais et l’IFP. Ne reste que les zones villages, impropres à l’implantation d’éoliennes.  Demander de sortir un pâturage de l’IFP ( moins d’1 % de la surface IFP de la Valléé) pour permettre à notre région de participer à l’effort d’indépendance énergétique de la Suisse est un acte citoyen et responsable. Il ne mettra en danger ni la protection ni la beauté de nos forêts et pâturages, mais il donnera aux futures générations de combiers un outil pour poursuivre une vie agréable et des activités économiques responsables pour le bien de la région.

Dire que l’éolien n’est pas rentable, ou produit trop peu, c’est oublier que jusqu’ici les coûts réels de l’énergie n’ont pas été pris en compte correctement ; le démantèlement prochain des centrales nucléaires réservera de très mauvaises surprises à cet égard…  L’avenir énergétique est dans une diversification maximale, économie d’énergie par l’innovation et les isolations de bâtiments, solaire thermique et photovoltaïque, énergie hydraulique et éolienne, bois de chauffe, ….    Chers combiers, participez positivement à la construction de notre avenir, ne cédez pas aux sirènes des pétitionnaires qui refusent d’analyser l’ensemble de la problématique. « Les petits ruisseaux font les grandes rivières », Eoljoux est un de ces ruisseaux dont nous avons la responsabilité.

Josiane Aubert, ancienne conseillère nationale

Le long chemin vers l’égalité femmes/hommes : bilan et perspectives

La quatrième Conférence mondiale de l’ONU sur les femmes a eu lieu en 1995 à Pékin ; elle impressionne aujourd’hui encore par la force visionnaire de ses exigences. En 1999, Ruth Dreifuss a donné au Conseil fédéral l’impulsion nécessaire pour qu’il adopte enfin le Plan d’action de la Suisse en faveur de l’égalité entre femmes et hommes. Instrument de travail de grande envergure, il répertorie 287 mesures pour permettre de coordonner, promouvoir et atteindre l’égalité par des actions ciblées autant en politique intérieure qu’extérieure, dans de multiples domaines : Pauvreté, éducation, santé, violence, conflits armés, économie, position de pouvoir et de décision, mécanismes institutionnels, droits humains, médias, environnement, filles, structures et finances.

Par une interpellation déposée en mars 2012, j’ai demandé au Conseil fédéral un bilan de ce Plan d’action du gouvernement quinze ans après. Une évaluation était d’autant plus souhaitable que le Parlement a voulu accélérer l’évolution de la situation en intégrant une nouvelle ligne directrice dans le programme de la législature 2011-2015. En 2015 aura lieu la 59e session de la Commission de l’ONU sur le statut de la femme, qui tirera aussi un bilan 20 ans après l’adoption de la Plate-forme de Pékin.

Le Conseil fédéral a mandaté le Bureau fédéral de l’égalité entre femmes et hommes pour établir ce bilan. Le 16 octobre 2014, le résultat a été présenté à Berne, ce rapport est un excellent outil de travail, pour montrer le chemin qu’il faudra encore parcourir pour que l’égalité soit présente dans toutes les sphères de notre société et dans toutes les actions politiques, ici ou en international.

Des avancées décisives ont été engrangées ces 15 dernières années, dont les plus importantes sont :

  • 2002 : interruption de grossesse dans les douze premières semaines autorisée
  • 2004 : congé maternité rémunéré de 14 semaines, obtenu 56 ans après l’article constitutionnel !
  • 2004 : la violence conjugale est poursuivie d’office
  • Engagement toujours plus explicite de la Suisse dans les organisations internationales et dans la coopération au développement en faveur des droits des femmes, de leur santé, leur formation et leur indépendance économique.

Les domaines qui, en Suisse, montrent encore de graves lacunes sont sans conteste :

  • Les différences salariales inacceptables entre femmes et hommes, chiffrées à 7,7 milliards de francs en Suisse pour la seule année 2010 ! La preuve est maintenant faite que les mesures incitatives ne suffisent pas, nous devons mener le combat au niveau légal, et vite !
  • Ce combat va de pair avec les mesures nécessaires à une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie familiale, la création suffisante de structures d’accueil pré- et parascolaires, l’encouragement du travail partiel aussi chez les hommes, des congés parentaux dignes de ce nom. Tous ces éléments sont interdépendants, comme les cinq doigts d’une même main et seront à coup sûr à l’agenda politique des prochaines années.

Quelques points du rapport, plus anecdotiques, ne manquent cependant pas d’inquiéter et indiquent clairement qu’il ne faut pas baisser la garde :

  • Le centre de compétence « Pédagogie de la société et école », initié par l’OFAS pour professionnaliser, mettre en réseau et élaborer du matériel, actif entre 2006 et 2013, a fermé, faute de moyens, alors que le peuple votera bientôt sur une initiative qui veut interdire l’éducation sexuelle à l’école primaire, et que le programme « Santé 2020 du Conseil fédéral n’a pas d’approche spécifique pour les femmes…
  • Les bureaux cantonaux de l’égalité sont en diminution depuis 2010 et sont parmi les premiers services sacrifiés en cas de resserrement des budgets !
  • La part des femmes en politique cantonale et fédérale stagne depuis 2010…

Le rapport met en évidence que, dans le domaine de l’égalité, le mouvement de balancier entre les obligations et les actions de la Suisse sur le plan international et les progrès recherchés sur le plan intérieur joue un rôle important sur lequel Conseil fédéral et parlementaires peuvent s’appuyer pour poursuivre la longue marche vers l’égalité.

Le bilan se termine par dix recommandations qui constituent une mine précieuse d’impulsions pour le travail des parlementaires et du gouvernement pour l’avenir. Un Plan d’action du Conseil fédéral actualisé à la lumière du bilan des 15 dernières années devrait permettre de tracer le chemin pour les 15 prochaines années, c’est ce que j’appelle de mes vœux.

Josiane Aubert, ancienne conseillère nationale VD

http://www.ebg.admin.ch/dokumentation/00068/00599/00631/index.html?lang=fr

 

Nicolas Rochat Fernandez se lance dans la course au Conseil National!

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Lors de son assemblée générale, organisée à l’Hôtel de Ville du Lieu vendredi dernier, le Parti Socialiste Vallée de Joux a élu Nicolas Rochat Fernandez comme candidat au Conseil National.

Originaire du Lieu, Nicolas a rapidement rejoint le monde politique et la lutte pour une plus grande justice sociale, que ce soit au travers de ses études, de ses emplois ou de ses engagements associatifs et politiques. Diplômé de la faculté de science-politiques de l’Université de Lausanne en 2009, il a en parallèle de ses études travaillé chez UNIA de 2006 à 2008 ainsi qu’en 2013 en tant que secrétaire syndical. En 2008, à 25 ans seulement, il accède au poste de député au Grand Conseil vaudois en remplacement de Josiane Aubert élue au Conseil National. Trois ans plus tard, il prend la direction du Groupe Socialiste au Parlement cantonal vaudois, poste pour lequel il a été réélu l’été dernier. Entre temps, le jeune Combier a repris le chemin des bancs de l’Université de Neuchâtel où il a obtenu avec brio son Master en droit en 2012. Aujourd’hui juriste et avocat-stagiaire, Nicolas Rochat Fernandez a également officié en tant que président de Français en Jeu (FeJ), une association qui donne gratuitement des cours de français aux migrants afin de faciliter leur intégration, de 2010 à 2013. Il a de plus œuvré dans le domaine du développement et de la coopération au sein de Solidar durant quatre ans.

Le Parti Socialiste Vallée de Joux est persuadé que Nicolas Rochat Fernandez est la personne idéale pour soutenir la liste socialiste au Conseil National et prendre la digne succession de Josiane Aubert. Cette première élection n’est qu’une étape dans la conquête d’un siège sous la coupole fédérale. Nicolas devra en effet être élu par la section régionale du Nord le 11 mars prochain puis par l’assemblée du Congrès du PS vaudois le 18 avril. Le PSVJ lui souhaite bonne chance pour la longue campagne électorale qui l’attend et encourage les Combiers à soutenir leur candidat.

                                                                                                 Sébastien Cala, Président

Ecopop ou la fin de la prospérité

Le 30 novembre prochain, le peuple se prononcera sur l’initiative d’Ecopop : « Halte à la surpopulation – Oui à la préservation durable des ressources naturelles ». Ce texte a pour objectif, selon ses auteurs, de garantir la qualité de vie de la population suisse en limitant drastiquement l’immigration, cela afin de préserver l’environnement. La préservation de l’environnement est en effet un des enjeux majeurs de notre société. Toutefois, l’initiative d’Ecopop pose plus de problèmes qu’elle n’en résout.

Les initiants ont en effet oublié une chose primordiale : la qualité de vie dans notre pays ne dépend pas uniquement de l’environnement naturel, mais également de notre économie florissante, des assurances sociales, de la qualité des soins médicaux, de l’éducation ou encore des sociétés culturelles et sportives qui animent la vie locale de nos communes. Or, si l’initiative d’Ecopop est acceptée par le peuple, ces différents éléments seront affectés directement ou indirectement. En limitant l’immigration à 0.2% de la population résidente, l’initiative engendrera en effet un important vieillissement de la population ce qui remettra en cause, de manière profonde, l’organisation générale des assurances sociales et principalement de l’AVS. En somme, soit les rentes baisseront, soit les charges sociales augmenteront mais dans tous les cas ce sont les entreprises et surtout la population qui devront passer à la caisse.

En outre, l’immigration permet à nos entreprises de prospérer car la population Suisse ne suffit pas à combler les besoins de l’économie. Limiter d’une manière aussi importante l’immigration engendrera certainement le départ de nombreuses entreprises et limitera clairement les perspectives de croissance des autres. Or sans croissance, les rentrées fiscales de l’Etat vont diminuer et, de ce fait, la qualité des services publics (santé, éducation, transports, etc.) également. De plus, si l’initiative d’Ecopop prétend améliorer les conditions environnementales, elle constituera en réalité un frein à la transition énergétique qui nécessite d’importants investissements. Enfin, il n’y aura plus de finances pour soutenir les sociétés locales qui sont si importantes pour la vie sociale des villages et des communes. En d’autres termes, l’initiative d’Ecopop mènera la Suisse à la récession et donc à une baisse de la qualité de vie de la population.

Enfin, il faut se rappeler que l’initiative de l’UDC contre « l’immigration de masse » le 9 février dernier a déjà créé de nombreux problèmes relationnels avec l’Union Européenne. Si l’initiative d’Ecopop – qui est plus radicale que celle de l’UDC – est acceptée par la population, il n’y aura plus de dialogue possible avec nos voisins européens ce qui engendrera une rupture définitive des bilatérales.

Pour toutes ces raisons, et parce que cette initiative stigmatise une nouvelle fois les migrants qui contribuent depuis toujours à la richesse culturelle et économique de la Suisse, le Parti Socialiste Vallée de Joux vous encourage à glisser un non dans l’urne le 30 novembre prochain.

Sébastien Cala

Président du PS Vallée de Joux

Initiative « Sauvez l’or de la Suisse » : une dangereuse fausse « bonne idée » !

Lancée par les milieux proches de l’UDC, l’initiative « Sauvez l’or de la Suisse » exige de la Banque nationale de stocker toute sa réserve d’or en Suisse et de détenir au moins 20% de ses actifs sous la forme d’or. De plus, elle interdirait toute vente d’or suisse dans le futur.

Indépendance menacée : Aujourd’hui, notre Banque nationale peut agir en toute indépendance et accomplir sa mission : protéger le franc suisse, préserver la stabilité des prix et assurer de bonnes conditions-cadre pour l’économie. Depuis les années 1970, l’or a perdu de son importance et d’autres instruments l’ont en partie remplacé. L’initiative sur l’or met des chaînes à notre Banque nationale. Dans les conditions actuelles, pour satisfaire les exigences de l’initiative, la Banque nationale serait contrainte d’acheter pour plus de 60 milliards de d’or. Comme cet or ne pourrait plus être revendu par la suite, comme l’exige l’initiative, il ne pourrait plus être utilisé comme instrument de politique monétaire, pour protéger le franc d’une évolution dangereuse par exemple. C’est un peu comme si l’on équipait un immeuble d’un extincteur dont l’utilisation serait ensuite interdite. C’est absurde.

Places d’emploi en danger : En 2011, le franc ne cessait de s’apprécier par rapport à l’euro. En quelques mois, les produits suisses se sont massivement renchéris à l’étranger – une catastrophe pour une industrie exportatrice florissante et le secteur du tourisme. Dans l’arc jurassien, le secteur horloger et ses ramifications sont spécialement sensibles aux conséquences d’une valorisation démesurée du franc. Ce n’est que grâce aux interventions décisives de la Banque nationale que le pire a pu être évité. Depuis septembre 2011, la Banque nationale défend avec succès un taux de change plancher de 1,20 franc pour un euro. Les entreprises peuvent ainsi travailler, planifier leurs activités et investir avec confiance. Avec les règles rigides de l’initiative sur l’or, cela ne serait plus possible.

L’or, un placement financier volatil : Les réserves d’or de la Banque nationale sont élevées en comparaison internationale. Il n’y a rien à y redire et leur vente n’est pas à l’ordre du jour. L’or est un élément important d’un dispositif anticrise judicieux. À cela s’ajoute que les réserves d’or ne sont pas toutes stockées au même endroit. Aujourd’hui, une partie de l’or se trouve en Grande-Bretagne et au Canada. C’est le seul moyen de garantir que la Suisse puisse, en cas de nécessité, vendre son or sur différentes places boursières. À long terme, le prix de l’or fluctue fortement. La Banque nationale en a d’ailleurs fait l’amère expérience l’an passé. En raison de la baisse du prix de l’or, elle a enregistré 15 milliards de francs de pertes. Obliger la BNS à tout miser sur l’or, c’est prendre un risque considérable.

Trous financiers pour les cantons : La Banque nationale suisse appartient à tous les Suisses. Sur la durée, elle a toujours dégagé des bénéfices. Un tiers de ceux-ci vont à la Confédération et deux tiers aux cantons. Ce sont donc surtout les cantons qui comptent sur cette manne. Le prix actuel de l’or est très élevé en valeur historique et il peut fluctuer fortement. De plus, l’or ne dégage pas de rendement. Le risque de pertes est donc très important, d’autant plus si la Banque nationale est contrainte de maintenir des stocks d’or qui dépassent ses besoins. En cas de perte, la Confédération et les cantons en paieront le prix. Les cantons devront compenser les sommes manquantes, soit par des hausses d’impôts, soit par des exercices d’économies.

Pour toutes ces raisons, il est important de refuser l’initiative sur l’or de la Banque nationale le 30 novembre prochain.

Josiane Aubert, ancienne conseillère nationale

Le 30 novembre prochain : OUI à l’initiative fédérale « Halte aux privilèges fiscaux des millionnaires (abolition des forfaits fiscaux) » !

Les forfaits fiscaux autorisent les personnes physiques qui ne sont pas des ressortissants helvétiques et qui n’exercent pas d’activité lucrative en Suisse à se faire imposer sur leurs dépenses et non sur leurs revenus ou leur fortune, selon la Loi.

Vous l’aurez compris, la présente initiative, soumise à vos suffrages le 30 novembre prochain, vise à supprimer cette pratique fiscale inéquitable.

Partant, l’initiative permet de rétablir l’équité fiscale à la fois verticale et horizontale. Verticale, car les multimillionnaires étrangers profitent d’une imposition plus basse que les nantis suisses moins riches et horizontale car, à fortune égale, cette catégorie d’étrangers est privilégiée par rapports aux Suisses.

Il ne s’agit, dès lors, pas de tomber dans la stigmatisation de personnes mais bien de mettre fin à ce système injuste comme certains cantons, à l’instar de Zürich, l’ont déjà décidés. L’uniformisation de cette pratique sur tout le territoire helvétique mettrait un terme définitif au tourisme fiscal, pratique ouvertement encouragée par certains responsable des finances cantonaux.

Enfin pour répondre à ceux qui brandissent le spectre de l’exode massif des riches contribuables vers l’étranger, les expériences vécues démontrent que, non seulement il n’y pas de fuite massive à l’étrangers et que, deuxièmement, ces départs sont compensés par l’arrivée de nouveaux contribuables.

Pour toutes ces raisons, votez et faites voter OUI à l’initiative « Halte aux privilèges fiscaux des millionnaires » !

Nicolas Rochat Fernandez, député