L’UDC « Parti du Peuple » vole au secours de Sepp Blatter !

Le « FIFAgate » était sur toutes les unes des éditions de la presse internationale la semaine passée.

Après de nombreuses années de dénonciations publiques par les ONG sur les méthodes frauduleuses de ladite Organisation, le Parquet de New York ainsi que la Procureur de la Confondération ont – enfin – ouvert une enquête et effectués des arrestations pour des infractions graves de blanchiment d’argent sale, corruptions et gestion déloyale.

Quand la tempête s’abat sur la FIFA et que les preuves de corruption s’accumulent, Ueli Maurer, Conseiller fédéral UDC et représentant du « Parti du Peuple luttant contre les abus des profiteurs de tous genres » vole au secours…de Sepp Blatter !

Sans blague ?! Alors que la FIFA est sous enquête, corrompue jusqu’à l’os, que la justice américaine et suisse va déballer des années de corruption généralisée. Ueli Maurer a la même ligne de défense que Blatter : il fait diversion et préfère parler football…

Dans sa lutte contre l’impunité zéro, il y a définitivement deux poids deux mesures à l’UDC.

Et en ce qui concerne la lutte contre la corruption internationale, le représentant de l’UDC plaide en faveur de l’amnisitie…ou l’amnésie…

Toutefois, cet épisode pathétique a pour positif de mettre en lumière quel « Peuple » l’UDC défend dans la réalité !

Les citoyen-ne-s honnêtes et travailleur-eus-e-s de ce pays en prendront acte pour les prochaines élections fédérales !

Nicolas Rochat Fernandez, député

Oui à la nouvelle Loi sur la radio et la télévision (LRTV) !

Un coût moindre pour tous

Avec la nouvelle LRTV, tous les ménages s’acquitteront d’une redevance moindre. Celle-ci coûtera seulement CHF 400.- francs environ, au lieu de CHF 451.- actuellement (montant au 1.5.2015).

75 % des entreprises ne paieront plus de taxe audiovisuelle, tandis que le 9 % va payer moins qu’actuellement. Cette baisse sera possible car il n’y aura plus de resquilleurs.

Une redevance audiovisuelle sociale

Les ménages percevant des prestations complémentaires AVS/AI ne paieront rien pour écouter la radio ou regarder la télévision, pas plus que les personnes résidant dans des institutions. Equité en matière d’utilisation des médias.

Une redevance audiovisuelle moderne

Il est possible de capter des programmes de radio et de tv presque partout par le biais d’ordinateurs, de tablettes ou de smartphones. Une redevance liée à la possession d’un poste de radio ou de télévision n’est plus adaptée à notre temps. Pour cette raison, une redevance indépendante des appareils de réception est moderne et nécessaire.

Diminution de la bureaucratie et Fin des contrôles

La redevance audiovisuelle sera indépendante du nombre et du type d’appareils de réception. Fini les visites de contrôleurs à domicile. Puisque tout le monde s’acquitte de la redevance audiovisuelle, il n’y aura plus de resquilleurs et par conséquent plus de contrôles.

Pour toutes ces raisons votez et faites voter OUI à la LRTV le 14 juin prochain !

Nicolas Rochat Fernandez, Député

Soulager les revenus – Renforcer l’AVS !

Les impôts sur le revenu, les primes d’assurance-maladie et les autres taxes à la consommation alourdissent la charge qui pèse sur les salarié-e-s ordinaires. Par contre, elle s’allège sur les fortunes et le capital. La richesse est répartie de manière toujours plus injuste. L’impôt sur les successions créera un certain équilibre : comme son produit sera destiné à l’AVS et aux cantons, la charge supportée par les gens qui ont des revenus normaux et les PME s’en trouvera allégée.

Allégement de la charge sur les revenus et renforcement de l’AVS. Grâce à la réforme de l’impôt sur les successions, ce sont donc 3 milliards de francs qui iront dans les caisses de l’AVS et des cantons. Celle de l’AVS se renforcera de 2 milliards de francs ce qui réduira, par exemple, le besoin de financement additionnel par la TVA.

Une franchise de 4 millions de francs pour les couples protégera les maisons familiales. Pour chaque succession, 2 millions de francs seront à l’avenir exonérés de l’impôt. Un couple marié pourra ainsi léguer sa maison familiale, jusqu’à une valeur de 4 millions de francs, sans avoir à payer l’impôt.

PME et exploitations agricoles seront protégées. 99% des PME ne seront pas concernées par l’impôt sur les successions. Les entreprises familiales et les PME seront exonérées de l’impôt sur les successions jusqu’à une franchise élevée, par exemple 50 millions de francs. Les exploitations agricoles n’y seront pas du tout assujetties.

L’impôt sur les successions répartira la richesse de manière plus juste en Suisse. La personne qui hérite de millions, voire de milliards de francs doit payer un impôt pour cela. Il n’y a aucune raison que l’argent touché sous forme d’héritage échappe à l’impôt.

Grâce à la réforme de la fiscalité successorale, nous allégerons la charge qui pèse sur les revenus et les PME, et nous renforcerons l’AVS. Je voterai donc OUI sans hésitation le 14 juin prochain.

Pour le PSVallée de Joux

Michel Beetschen

700 signatures pour la pétition !

Après trois semaines et une journée de récoltes à la foire du Sentier, 700 personnes ont apporté leur soutien à la Pétition pour une ligne ferroviaire directe entre Le Brassus et Lausanne.

L’important soutien à cette pétition démontre clairement l’agacement de la population quant aux conditions de transport ferroviaire entre Le Brassus et Lausanne. Il est primordial que la situation s’améliore dans les plus brefs délais !

Stand du PSVJ à la foire de printemps au Sentier

Stand du PSVJ à la foire de printemps au Sentier

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Les parents sont les premiers concernés : donnons-leur la possibilité de décider !

Les couples qui doivent avoir recours à la fécondation in vitro sont nombreux en Suisse où … % des naissances sont des « bébés- éprouvettes ».  Le chemin que doivent parcourir ces couples est semé d’embûches, et les résultats positifs aboutissant à une naissance  sont de l’ordre de 30%. C’est dire que les couples concernés sont amenés à se poser de nombreuses questions et n’entreprennent pas une telle démarche comme une balade de santé.

Depuis que l’humanité existe, les hommes ont développé la médecine pour prendre soin des malades, soulager les souffrances et tendre vers la guérison. Dans le domaine de la médecine prénatale, les diagnostics précoces évitent actuellement de nombreux malheurs encore courants au début du siècle passé, tels que mort de la femme en couche, perte du nouveau-né lors de l’accouchement ou handicap sévère. Tout ne peut être évité, et les handicaps divers resteront toujours un risque à différentes étapes de la vie.  Il est donc primordial de tout faire pour que les personnes atteintes soient prises en charge par la société, avec solidarité et sans discrimination.

Mais le fait qu’il y aura toujours des handicapés à accueillir sans discrimination par notre société doit-il induire  l’obligation d’interdire au couple conscient d’être atteint d’une maladie rare héréditaire de tout faire pour éviter de transmettre cette maladie à sa descendance ?

C’est en fait la question qui nous est posée en votation populaire le 14 juin prochain avec la proposition de modification de l’article constitutionnel sur la procréation médicalement assistée. La modification proposée permettra d’adapter ensuite la loi pour rendre possible le diagnostic préimplantatoire dans des cas bien définis et restrictifs.   Sans cette modification constitutionnelle, les couples atteints d’une maladie héréditaire et disposant des moyens financiers et du temps nécessaire seront contraints comme aujourd’hui de se rendre à l’étranger dans nos pays voisins pour bénéficier de ces techniques.  C’est à mes yeux une inégalité de traitement et une discrimination par l’argent qui n’ont pas lieu d’être.

Si l’article constitutionnel est accepté, comme le Conseil fédéral, le Conseil d’Etat vaudois et les chambres fédérales dans leur grande majorité le recommandent, la loi d’application viendra aussi en votation l’année prochaine (un référendum est annoncé) pour s’assurer de  garde-fous suffisants à éviter toute dérive.  A ce stade, il est très important d’ouvrir l’article constitutionnel pour rendre aux parents concernés le pouvoir de décision sur des sujets aussi graves, qui les concernent en premier chef.  Les personnes qui vivent ces dilemmes de l’intérieur n’ont pas besoin de l’Etat pour se poser les bonnes questions et prendre les décisions en leur âme et conscience. Une fois leur décision prise, ils doivent, s’ils le souhaitent, pouvoir être traités en Suisse. C’est ainsi que la dignité humaine sera le mieux respectée et l’égalité de traitement garantie à tous.  Je voterai donc OUI avec conviction le 14 juin prochain.

Josiane Aubert, ancienne conseillère nationale

Jeunesse et Sport (J+S) : un soutien essentiel à consolider !

Communiqué du PSV :

Le PSV interpelle le Conseil d’Etat quant à la baisse de subventions fédérales Jeunesse et Sport, ses conséquences au niveau cantonal et les mesures envisagées par le Conseil d’Etat pour pallier ce manque.
En mars 2015, l’Office fédéral du sport (OFSPO) a décidé de réduire les subventions Jeunesse et Sports de 25% à partir du 1er août. Cette décision est motivée par un afflux trop important de demandes. Or, les conséquences d’une telle diminution sont extrêmement importantes pour la jeunesse de notre canton. Une motion a été déposée au niveau fédéral pour modifier cette décision, mais elle n’a pas encore été traitée par les Chambres. Un éventuel retour en arrière pourrait ne pas s’appliquer directement. Dès lors, le PSV, par le biais d’une interpellation de Julien Eggenberger, demande au Conseil d’Etat quelles mesures il entend entreprendre pour pallier ce manque considérable.
Les subventions J+S contribuent en effet au fonctionnement de toutes les activités sportives pour la jeunesse dans les différentes fédérations et associations (les scouts par exemple). Par ailleurs, elles permettent l’organisation de plus de 2’000 camps dans toute la Suisse, concernant plus de 60’000 enfants. C’est donc des milliers d’heures d’encadrement du sport, des centaines de camps et des milliers d’enfants qui sont concernés dans notre canton. L’équilibre financier de ces activités, parfois fragile, est remis en cause et les organisateurs vont être confrontés à des difficultés considérables devant un changement annoncé aussi tardivement. Le PSV s’inquiète des conséquences que va avoir cette mesure sur le financement des activités sportives et associatives à long terme, essentielles à la cohésion sociale et à la santé.
Dès lors, le PSV interroge le Conseil d’Etat sur les conséquences d’une telle baisse de la subvention fédérale. Il demande en outre quelles mesures le Conseil d’Etat envisage de prendre pour pallier cette fâcheuse décision fédérale afin de ne pas reporter sur les participant-e-s le financement manquant. Il faut à tout prix éviter que l’accès à des activités sportives variées et de qualité ne soient freinées par les capacités financières des parents.

La Cantonnette était pleine pour le 1er mai du PSVJ et d’UNIA !

A l’occasion des traditionnelles festivités du 1er mai, UNIA et le PS Vallée de Joux ont offert un repas aux personnes qui le souhaitaient.

Une centaines de Combiers s’est déplacée pour venir écouter la Conseillère d’Etat Nuria Gorrite et le député vaudois Nicolas Rochat Fernandez, candidat au Conseil National qui nous ont fait l’honneur de leur présence.

Voici quelques photos :

Nuria Gorrite et Nicolas Rochat Fernandez

Nuria Gorrite et Nicolas Rochat Fernandez

Les Combiers se sont déplacés en nombre !

Les Combiers se sont déplacés en nombre !

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Nuria Gorrite en plein discours

Nuria Gorrite en plein discours

Nicolas Rochat Fernandez a également fait un discours.

Nicolas Rochat Fernandez a également fait un discours.

 

 

Création d’un fonds de soutien à l’industrie : une aide intelligente pour les PME locales !

Lundi dernier, le Conseil d’Etat vaudois annonçait la création d’un fonds de soutien à l’industrie. Ce fonds, demandé de longue date par le syndicat UNIA, puis par le parti socialiste vaudois (PSV) est un excellent moyen de soutenir les PME locales et ainsi de maintenir et développer des emplois dans notre canton.

Notre pays a été ébranlé économiquement par deux décisions fâcheuses : le vote du 9 février et la suppression du taux plancher de la BNS. Ces deux événements ont fortement pénalisé certains secteurs, notamment industriel, et les risques pour l’emploi sont nombreux.

Or, il n’existait pas d’instrument sérieux, concret, qui visait à aider directement les entreprises et à maintenir les places de travail pour les PME locales, en période de crise.

Ce fonds est destiné à toute les PME industrielles dont l’outil de production est basé dans le canton de Vaud. Il permettra de soulager des difficultés de trésorerie passagères, mais également d’investir dans des outils de production, des projets d’innovation ou dans les ressources humaines.

Au final, par des cautionnements, des prêts avec intérêts et des aides à fonds perdus, il permettra de soutenir les PME locales. La concrétisation de ce projet, demandé depuis quatre ans par le PSV, est donc une excellente nouvelle pour l’emploi.

Le Grand conseil vaudois devra encore se prononcer sur l’octroi de crédits pour la création du fonds.

Nicolas Rochat Fernandez, président-rapporteur de la Commission du Grand conseil vaudois chargée d’étudier la création d’un fonds de soutien à l’industrie vaudoise.

Diagnostique préimplantatoire

Le premier enfant issu de la fécondation in vitro est né en Angleterre en 1978, et le premier en Suisse est né à Locarno en 1985.  Aujourd’hui, dans notre pays, près de deux enfants sur cent sont conçus par procréation médicalement assistée. En 2013, ce sont 1891 naissances.  Ces nouvelles techniques ont fait l’objet d’un long débat aux Chambres et devant le peuple pour aboutir à l’article constitutionnel et à la loi entrés en vigueur en 2001. L’article constitutionnel interdit la maternité de substitution (mères porteuses), ainsi que le don d’embryons ; seuls trois ovules peuvent être fécondés par cycle de traitement pour éviter au maximum la production d’embryons surnuméraires.  La loi va plus loin en interdisant de surcroît le don d’ovules, la conservation d’embryons et le diagnostic préimplantatoire (DPI).

Le DPI consiste à prélever une cellule à un stade précoce de développement de l’embryon pour réaliser un certain nombre d’analyses génétiques. Cela permet d’implanter les embryons non porteurs d’aberrations génétiques.  De nombreux pays autorisent le DPI, avec chaque fois des réglementations différentes.

Actuellement le DPI n’est pas autorisé en Suisse. Les couples dont les deux parents sont porteurs d’une maladie héréditaire grave (environ une centaine de couples en Suisse par année) se trouvent devant le choix suivant:

  • Soit ils tentent une fécondation in vitro (taux de réussite environ 25%, c’est une thérapie lourde pour le couple, qui demande une grande patience… ) et attendent un diagnostic prénatal par amniocentèse, vers la 14e semaine de grossesse pour dépister une éventuelle maladie héréditaire.  Si c’est le cas, ils peuvent, en toute légalité, décider d’un avortement et reprendre le processus à zéro !
  • Soit ils partent effectuer un traitement à l’étranger pour pouvoir bénéficier d’un DPI ; ainsi ils ne prennent pas le risque de devoir interrompre la grossesse à un stade avancé, alors que le diagnostic pouvait se faire avant l’implantation.

Nous devons prendre acte des progrès médicaux et permettre aux couples confrontés à de graves difficultés de bénéficier des derniers développements de la génétique.  Il n’est plus raisonnable de refuser le DPI.  Les garde-fous contre les dérives eugénistes introduits dans notre législation en 2001 doivent rester solidement ancrés, basés sur la dignité humaine, mais une adaptation est nécessaire.

Le nouvel article constitutionnel sur lequel le peuple votera en juin, soutenu par le Conseil fédéral et une forte majorité des Chambres fédérales autorisera le prélèvement et la conservation de 12 ovules pour permettre le DPI. La révision de la loi suivra et fera l’objet d’un nouveau vote.

 Les progrès dans la santé doivent être accessibles à tous, dans un cadre respectueux de la dignité humaine. Actuellement, seuls les couples qui ont argent et temps peuvent partir se faire traiter à l’étranger.  …  Il est primordial de faire évoluer notre législation au fur et à mesure des découvertes et des possibilités médicales qu’apporte la recherche, en gardant toujours les droits humains en point de mire, avec une réflexion éthique jamais terminée, toujours renouvelée.

Josiane Aubert, ancienne conseillère nationale,